Les grandes dates
1848
Sous la Restauration et sous la Monarchie de Juillet, Garnier-Pagès, Arago et Ledru-Rollin sont les premiers en France à se proclamer “ Radicaux “.
1869
Discours de Belleville où Léon Gambetta présente le premier programme de démocratie politique et sociale.
1877
Léon Gambetta, prenant la tête des adversaires de la droite monarchiste fait triompher la coalition républicaine aux élections (ce qui conduira, plus tard, Mac Mahon à se démettre de la présidence de la République).
1881 – 1884 – 1901
Vote des grandes lois, d’inspiration radicale, qui donnent à la IIIe République ses structures démocratiques (loi sur l’enseignement primaire gratuit, laïque et obligatoire, loi sur la liberté d’expression, loi sur les conseils municipaux, etc.).
1901
Fondation, à Paris, du Parti républicain, radical et radical-socialiste.
1905
Loi sur la séparation de l’Eglise et de l’Etat, dont Emile Combes a été l’inspirateur.
1906
Georges Clemenceau devient Président du Conseil.
1911
Joseph Caillaux, inspirateur d’une fiscalité démocratique devient Président du Conseil et donne au parti un visage plus moderne.
1924
Victoire du Cartel des gauches (Parti radical-SFIO) aux élections législatives.
1934
Les radicaux dénoncent l’action des “ organisations séditieuses et de tous les factieux “
1935
Jean Zay, Pierre Mendès-France, Jacques Kayser sont les “ Jeunes Turcs “ Ils bousculent les majoritaires du parti pour le maintenir à gauche.
1936
Victoire du Front populaire avec le parti radical.
1938
Edouard Daladier devient Président du Conseil
1942
Jean Moulin, devient président du Conseil National de la Résistance.
1947
Edouard Herriot est président de l’Assemblée Nationale jusqu’en
1954.
1954
Pierre Mendès-France devient Président du Conseil. Il met un terme à la guerre d’Indochine et règle les questions du Maroc et de la Tunisie.
1962
Gaston Monnerville, président du Sénat de 1947 à 1968 vote contre le référendum du Général de Gaulle.
1965
Le Parti radical entre dans la fédération de la gauche démocratique et socialiste avec le S.F.I.O. et la convention des Institutions républicaines de François Mitterrand.
1972
Sous l’impulsion de Robert Fabre et de Maurice Faure, la gauche de Parti radical décide de signer le Programme commun auquel elle fait ajouter une annexe précisant ses positions.
1973
Le congrès de Paris fonde le Mouvement des Radicaux de Gauche.
1981
Candidature de Michel Crépeau à la présidence de la République. Participation du MRG au gouvernement Pierre Mauroy, puis en 1984 au gouvernement Laurent Fabius.
1984
Liste Entente Radicale Ecologiste (ERE) à l’initiative des radicaux de gauche.
1988
Le M.R.G. soutient François Mitterrand
Le M.R.G. Participe aux gouvernements Michel Rocard, Edith Cresson et Pierre Bérégovoy.
1994
Succès, avec 12,5 % de la liste alliance radicale européenne menée par Bernard Tapie : 13 députés seront élus.
1995
Tentative de candidature radicale à l’élection présidentielle.
1997 - 2002
Participation aux gouvernements Lionel Jospin.
2001
Succès de la gauche aux élections municipales avec présence des radicaux de gauche dans de nombreuses municipalités, notamment à Paris et Lyon.
2002
Candidature de Christiane Taubira à l’élection présidentielle.
2004
A l’occasion des élections régionales, les radicaux de gauche doublent le nombre de leurs élus.
Sous la Restauration et sous la Monarchie de Juillet, Garnier-Pagès, Arago et Ledru-Rollin sont les premiers en France à se proclamer “ Radicaux “.
1869
Discours de Belleville où Léon Gambetta présente le premier programme de démocratie politique et sociale.
1877
Léon Gambetta, prenant la tête des adversaires de la droite monarchiste fait triompher la coalition républicaine aux élections (ce qui conduira, plus tard, Mac Mahon à se démettre de la présidence de la République).
1881 – 1884 – 1901
Vote des grandes lois, d’inspiration radicale, qui donnent à la IIIe République ses structures démocratiques (loi sur l’enseignement primaire gratuit, laïque et obligatoire, loi sur la liberté d’expression, loi sur les conseils municipaux, etc.).
1901
Fondation, à Paris, du Parti républicain, radical et radical-socialiste.
1905
Loi sur la séparation de l’Eglise et de l’Etat, dont Emile Combes a été l’inspirateur.
1906
Georges Clemenceau devient Président du Conseil.
1911
Joseph Caillaux, inspirateur d’une fiscalité démocratique devient Président du Conseil et donne au parti un visage plus moderne.
1924
Victoire du Cartel des gauches (Parti radical-SFIO) aux élections législatives.
1934
Les radicaux dénoncent l’action des “ organisations séditieuses et de tous les factieux “
1935
Jean Zay, Pierre Mendès-France, Jacques Kayser sont les “ Jeunes Turcs “ Ils bousculent les majoritaires du parti pour le maintenir à gauche.
1936
Victoire du Front populaire avec le parti radical.
1938
Edouard Daladier devient Président du Conseil
1942
Jean Moulin, devient président du Conseil National de la Résistance.
1947
Edouard Herriot est président de l’Assemblée Nationale jusqu’en
1954.
1954
Pierre Mendès-France devient Président du Conseil. Il met un terme à la guerre d’Indochine et règle les questions du Maroc et de la Tunisie.
1962
Gaston Monnerville, président du Sénat de 1947 à 1968 vote contre le référendum du Général de Gaulle.
1965
Le Parti radical entre dans la fédération de la gauche démocratique et socialiste avec le S.F.I.O. et la convention des Institutions républicaines de François Mitterrand.
1972
Sous l’impulsion de Robert Fabre et de Maurice Faure, la gauche de Parti radical décide de signer le Programme commun auquel elle fait ajouter une annexe précisant ses positions.
1973
Le congrès de Paris fonde le Mouvement des Radicaux de Gauche.
1981
Candidature de Michel Crépeau à la présidence de la République. Participation du MRG au gouvernement Pierre Mauroy, puis en 1984 au gouvernement Laurent Fabius.
1984
Liste Entente Radicale Ecologiste (ERE) à l’initiative des radicaux de gauche.
1988
Le M.R.G. soutient François Mitterrand
Le M.R.G. Participe aux gouvernements Michel Rocard, Edith Cresson et Pierre Bérégovoy.
1994
Succès, avec 12,5 % de la liste alliance radicale européenne menée par Bernard Tapie : 13 députés seront élus.
1995
Tentative de candidature radicale à l’élection présidentielle.
1997 - 2002
Participation aux gouvernements Lionel Jospin.
2001
Succès de la gauche aux élections municipales avec présence des radicaux de gauche dans de nombreuses municipalités, notamment à Paris et Lyon.
2002
Candidature de Christiane Taubira à l’élection présidentielle.
2004
A l’occasion des élections régionales, les radicaux de gauche doublent le nombre de leurs élus.